Mon Premier Voyage De Femme « Libre » 18° Partie
Avant de vous faire lire la suite de mon histoire, je tiens à vous informer qu'un lecteur a trouvé mon histoire sur un autre site qui porte le nom d'un petit animal de compagnie que l'on garde le plus souvent en cage. Je ne suis pas à l'origine de cette publication. Je ne publie mes histoires que sur HDS. Le site en question vole les contenus des autres sites pour se les approprier afin de générer du trafic et s'enrichir. Je n'ai donc rien à voir avec la Patricia qui s'attribue les mérites de mon récit.
Suite de mon histoire....
La conduite de Jeff était fluide. Il se dirigeait sans hésitation dans les rues parisiennes. Quand je lui ai demandé comment il faisait pour être aussi à laise, il mexpliqua quil avait vécu dix ans à Paris avant de descendre à Montpellier pour prendre la direction de la concession.
Je dus massoupir quelques instants. Ce fut la main de Jeff sur le haut de ma cuisse qui me réveilla. Sa main était douce. Je le laissais faire. Je mabandonnais, les yeux fermés. Ma robe était retroussée. Ses doigts me fouillaient. La voiture sarrêta. Sûrement un feu tricolore. Alors que jouvrais les yeux, je maperçus que la voiture était arrêtée le long dun car rempli de touristes japonais très intéressés par la scène qui se déroulait dans la voiture.
Javertis Jeff calmement. Il me répondit que cela ne pouvait que faire du bien à ces asiatiques à la recherche de spécialités françaises. Je gardais les yeux entrouverts. Je voyais les flashs des appareils photos qui crépitaient au-dessus de moi. Jallais devenir une star internationale.
Jeff me complimenta. Quand la voiture redémarra, il ajouta quil était fier de moi et que je lavais excité de mexhiber ainsi devant ces touristes en toute impudeur.
Il me demanda douvrir la boite à gants. Un paquet mattendait. Il me dit de louvrir. Je découvris un plug en plaqué or, ainsi quun uf vibrant. Il me demanda de mettre les deux, ce que je fis sans hésiter.
Les vibrations soudaines dans mon vagin me firent comprendre que la télécommande devait être dans la poche de mon amant. Au feu suivant, il prit de nouvelles photos. Pour Paul précisa-t-il avec un clin dil complice.
Que pensera-t-il de sa dévergondée ? Moi qui restais une épouse plutôt classique.
Les vibrations sarrêtèrent. Nous étions arrivés à lhôtel. Le voiturier vint mouvrir la portière si rapidement que je neus pas le temps de rabattre ma robe. De plus, il ne métait pas facile de descendre du SUV. Le coquin me tint le bras avec un sourire ravi.
Jeff navait rien manqué de ma mésaventure. Il était tout souriant. Il me prit la taille pour maccompagner au restaurant du Lutécia.
La salle nétait pas pleine. Le maître dhôtel nous accompagna à une table ronde. Jeff rapprocha sa chaise de la mienne pour être plus près de moi.
Il commanda du champagne. Je lui demandais alors pourquoi nous navions pas été directement dans la chambre pour profit du room service tranquille ?
Il mit sa main sur ma cuisse et remonta jusquà ma vulve. Jétais tétanisée. Ses doigts mélectrisaient. Luf vibrant se mit aussitôt en route. Je serrais mes cuisses. Je fermais les yeux. Jétais perdue. Les vibrations passaient de luf au plug. Mes orifices me trahissaient. Les vibrations montaient par vagues dans tout le corps. Les jouets de Jeff étaient diaboliques.
Cest le maître dhôtel qui me sortit de ma torpeur. « Tout va bien madame ? »
Je bafouillais une réponse inintelligible et demandais à Jeff de commander pour moi. Jétais emportée à mille lieux de là
.
Jeff acquiesça en souriant et nous commanda un repas léger à base de poisson ai-je cru comprendre
.
Jeff reposa sa main sur ma cuisse et arrêta la télécommande pour que je puisse souffler. A mon tour, je mis ma main sur sa cuisse pour constater létat de mon bel étalon.
Je lui posais la question. Il me sourit sans me répondre. A quoi pensait-il donc ? Je commençais à minquiéter. Dans quel piège mavait-il attiré ?
Je revins à moi au moment où nos plats arrivèrent. Le dressage était superbe et le fumet
Hummm. Quel plaisir quand on a un peu dargent, cela change beaucoup de choses. Il est vrai que je commençais à fortement apprécier mon rôle de femme coquine. Il y avait beaucoup davantages.
Jallais remercier mon bienfaiteur quand je sentis à nouveau les vibrations dans mon bassin
Jeff me regarda dun air coquin et me murmura à loreille : « Ne bouge pas. Regarde-moi. Ne tourne pas la tête. Il y a un homme qui semble tapprécier sur la table de droite. Tu regarderas dans quelques instants. Je te souhaite un bon appétit. »
Je ne comprenais pas bien ce que voulait dire Jeff. Jattendis quelques instants afin de déguster tranquillement mon poisson avant de tourner négligemment la tête sur la droite. Effectivement, un homme brun dune cinquantaine dannée me regardait. Cest quand je pris conscience que Jeff avait relevé ma robe plus que de raison que je compris lintérêt de notre voisin.
Par réflexe, jallais tirer sur le bas de la robe, quand je sentis la main de Jeff men empêcher. « Tss, tss,
Reste comme cela. Cet homme profite dun instant magique. Laisse-le. Il rêvera de toi cette nuit et grâce à toi, il passera une nuit agréable. »
Cétait un point de vue
Je ne pouvais quaccepter la demande de Jeff. Sentant ma soumission, mon amant écarta davantage mes cuisses pour que le regard du voyeur puisse atteindre mon intimité dénudée
Me laissant aller, je décidai de jouer le jeu de Jeff et de terminer mon délicieux repas avec appétit.
Le repas terminé, je me sentais un peu grisée par le champagne.
Jeff me remercia, membrassa et tira ma chaise pour que je puisse me lever. Le coquin en profita pour palper mes fesses en remontant le bas de ma robe.
Enfin, nous voilà dans lascenseur qui nous menait à notre chambre. Jétais épuisée. Javais besoin dun double café et dune bonne douche réparatrice avant de moccuper de Jeff dont je navais pas encore reçu les faveurs aujourdhui.
Nous étions seuls dans lascenseur. Mon amant en profita pour faire vibrer mon uf au maximum. Je ne tenais plus sur mes jambes. Il remonta ma robe et prit quelques photos. Je jouis juste avant darriver à notre étage. Jeff arrêta la télécommande et me plaqua contre le mur du couloir pour membrasser à pleine bouche. Je sentais son sexe en érection contre mon ventre.
Il me tendit la clé de la chambre et me demanda dy aller en relevant ma robe jusquà la porte. Il restait derrière moi pour me filmer à moitié nue. Une porte pouvait souvrir à nimporte quel moment. Jhâtais le pas. Enfin, la porte, le lit
Jenlevais ma robe Kenzo que je pliais délicatement sur une chaise.
Jeff me commanda un café pendant que je faisais couler leau du bain. Il donna ma robe au garçon détage pour un nettoyage au laundry service.
Tandis que je me penchais sur la baignoire pour tester la température de leau, Jeff vint derrière moi pour jouer avec le plug qui était toujours dans mon derrière.
Je me glissais dans leau chaude. Jétais bien. Javais besoin de ces quelques minutes de détente avant de prendre une bonne douche fraiche et un bon café pour être à nouveau dattaque.
Jeff restait près de moi. Il me caressait. Jadorais sa tendresse. Il était attentionné. Il était mon ange gardien. Cétait lui qui avait initié mon week-end de femme libre. Je ne pourrais jamais le remercier comme il le mérite. Jétais prête à tout pour lui faire plaisir, pour lui donner du plaisir.
Il mapporta mon café que je bus lentement. Cétait une merveille de Blue Mountain. Quel délice !
Comme je me levais, mon amant me tendit la main pour maider. Je réglais la température de la douche et marrosais le corps dune eau fraiche et revigorante. Enfin, Jeff me tendit un peignoir et maida à lenfiler.
Il se déshabilla et se doucha. Je mappliquais à le savonner. Jinsistais sur son membre gonflé de désir et jinfiltrais mon majeur, enduit de savon, dans son anus. Cette caresse eût lair de lui plaire. Il se contorsionna sous celleci avec un grand sourire de satisfaction. Il se rinça.
A mon tour, je lui fis passer un peignoir.
Serrés lun contre lautre nous nous dirigeâmes vers le lit.
Jeff sassit sur le bord du lit. Jécartais les pans du peignoir pour extirper son sexe dressé. Sa queue était grosse et aussi dure quun gode. Enfin. Je pouvais men occuper. Je pouvais laimer. Je pouvais le gober, le lécher, lavaler au plus profond de ma gorge. Mon plaisir était le total lâcher-prise de Jeff qui me laissait en tête à tête avec sa queue.
Quelques gouttes de liquide perlaient au bord de son méat. Je men régalais. Je pénétrais son anus à nouveau après lavoir léché. Jeff gémissait de plaisir. Il était au bord de la jouissance. Je voulais le boire, là, maintenant.
Jeff devait avoir une autre idée. Il me repoussa et me fit mettre à quatre pattes à même ma moquette. Il se mit derrière moi et me pénétra lentement et pleinement. Javais oublié que mon uf était encore en moi, mais pas Jeff apparemment qui se plaisait à cohabiter avec lintrus.
Jétais remplie, comme si deux sexes étaient en moi. Que dis-je, trois, en comptant le bijou anal. Cétait trop. Jeff savait jouer de mon corps et me donner un plaisir intense et total. Je jouis très vite. Ma jouissance était profonde, sourde et totale. Une vague, un tsunami memporta.
Jeff navait pas fini. Il me fit pivoter pour que je puisse mettre mon buste sur le lit. Il me caressa le dos. Je pouvais sentir son sexe toujours raide contre mes fesses. Je lui ai murmuré : « viens. Encule-moi. Maintenant !! Sil te plait. »
Il enleva le plug quil me redonna à lécher, puis positionna son gland devant mon anneau pour me sodomiser. Le plug avait bien préparé mon anus. Jeff pénétra facilement. Son sexe me paraissait pourtant énorme. Il attendit un peu avant de bouger et
de déclencher la télécommande de luf toujours dans mon vagin.
Progressivement, Jeff augmenta la cadence de ses va et vient. Les coups de boutoir et les vibrations de luf me provoquaient des ondes de plaisir qui me traversaient le corps. Jétais perdue. Je secouais la tête de part et dautre. Je criais, je pleurais, je gémissais, je jouissais comme une démente quand je sentis Jeff qui me lâchait plusieurs jets de sperme dans mes intestins dans un cri primal indicible
Mon amant sécroula sur moi, épuisé. Il resta ainsi un moment, son sexe toujours dans mon cul. Luf continuait de vibrer. Tandis que jallais proposer à Jeff de larrêter, je sentis que les vibrations de lobjet avaient redonné vie à mon homme. Je sentis son sexe reprendre de la vigueur. Étonné par lérection, Jeff recommença quelques mouvements, comme pour la tester. Satisfait, il sortit sa queue de mes fesses pour sallonger sur le lit.
Voyant lobjet de mon désir si près de mon visage, je le pris à nouveau en bouche. Jeff apprécia si bien ma caresse buccale quil sactiva. Sa queue rentrait et sortait de ma bouche. Il baisait littéralement ma bouche. Excité par cette position, il jouit rapidement dans ma bouche. Je le gardais un moment, puis je mappliquais à sucer, lécher, boire, les dernières gouttes quil moffrait.
Épuisés, nous nous endormîmes sur place.
Réveillée par une envie daller aux toilettes, je retrouvais jeff, dans le lit, toujours endormi. Quil était beau. Cétait un bel homme. Bien fait et bien proportionné.
Il devait faire un rêve érotique. Peut-être se repassait-il toutes les images excitantes de la veille ? Et, il y en avait eu. Son sexe était en érection.
Je mallongeais contre lui, de façon à avoir ma bouche à la hauteur de son gland et je le pris en bouche, sans bouger, comme si je suçais mon pouce.
Peu après, je sentis son gland gonfler, son sexe légèrement bouger. Son rêve devenait humide. Jeff commença à bouger son bassin, et progressivement sa queue me remplit la bouche. Endormi ou pas, il me baisait à nouveau la bouche. Rapidement, je sentis son gland se gonfler, puis des jets de sperme giclèrent au fond de ma gorge. Javalais avec gourmandise le sperme de mon amant qui ne bougeait pas. Il dormait. Sa jouissance ne lavait pas réveillé. Cest la première fois que javais le privilège de vivre cet instant exceptionnel.
Je restais ainsi, la queue de Jeff dans ma bouche et me rendormit, la tête contre son ventre.
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